Après la période traumatisante des pensionnats indiens où toute une génération s’est vue dépossédée de sa culture, les Innus, Huron-Wendt et autres natifs du Québec ont vu l’accès à leur territoire réduit en raison des besoins croissants des industries forestière, minière et hydroélectrique. En guise de défense, ils réapprennent les gestes ancestraux et vitaux tout en se réappropriant leur langue.