Pour Anne de Vandière, le premier outil de communication est le langage universel des voyageurs, un ballet facétieux de gestes des mains qui s’envolent, qui touchent et caressent, avant d’être répertoriées par ses soins sous forme d’empreintes ou de dessins dans ses «carnets nomades».

Ceux-ci constituent un véritable lien avec les populations qui viennent enrichir les pages de témoignages à travers des dessins, des bijoux ou des plantes.

Immergée dans la vie des villages, Anne de Vandière recueille ainsi la parole de leurs habitants sur leurs croyances et leur philosophie de vie avant de réaliser des portraits en noir et blanc de leurs mains. Les mains sont bavardes, elles ne trichent pas et reflètent l’identité, les souffrances, le courage et l’espoir de populations menacées par le déracinement qui, aussi différentes soient-elles d’un bout à l’autre du globe, parlent d’une même voix de leur respect de l’environnement et de leur attachement à la Terre Mère.



Carnet Nomade Madagascar

Carnet Nomade Australie

Carnet Nomade Equateur

Carnet Nomade France

Carnet Nomade Inde

Carnet Nomade Laos

Carnet Nomade Malaisie

Carnet Nomade Pérou

Carnet Nomade Tanzanie

Carnet Nomade Thailande

Carnet Nomade Inde (Orissa)

Carnet Nomade Maroc

Carnet Nomade Canada

Carnet Nomade Ethiopie

Carnet Nomade Groenland

Carnet Nomade Ladakh

Carnet Nomade Laponie

Carnet Nomade Népal

Carnet Nomade Sénégal